vendredi 19 décembre 2008

THE TAKING OF PELHAM ONE, TWO, THREE
David Shire (1974)




















Métro, Boulot, et Prise d'otages


La B.O. culte de David Shire enfin sur ce blog.
THE TAKING OF PELHAM 1,2,3 est un film de Joseph Sargent.
Ce bijou policier de 1974 a inspiré Tarantino pour son Reservoir Dogs,
( Mr Black, Mr White, Mr Orange… )


Main Title (2'20)






1. Main Title
2. The Taking
3. Dolowitz Takes a Look/Dolowitz Gets Killed
4. Blue and Green Talk
5. Money Montage
6. Fifty Seconds/The Money Express
7. Conductor Killed/The Money Bag
8. The Pelham's-Moving-Again Blues
9. I'm a Police Officer/Renewing Disguises/Goodbye Green, Hello Garber,
Goodbye Hippie/Smoking More, Enjoying It Less
10. Mini-Manhunt
11. End Title

Enjoy !
(60 mégas)

mercredi 3 décembre 2008

MICSPAWN (Coloc-Scopie)
Human Beat Box


















Retrouvez la performance de Beat Box de Micspawn !
( Le champion de France 2007 de Beat-Box )
Trois prises audios tirées des Rushs du tournage de Coloc-Scopie.

Beat 3 (2'10)





Enjoy
(47 mégas)

samedi 8 novembre 2008

Plus Dur, Meilleur, Plus Rapide, Plus Fort
La Pompe Moderne (2008)

























Georges Brassens n'est pas mort !

Et il revient plus dur, meilleur, plus rapide et plus fort.


Plus Dur, Meilleur, Plus Rapide, Plus Fort (2'50)





Enjoy
(2,5 mégas)

vendredi 31 octobre 2008

STREAKING ! (1974)
Jean-Claude Pelletier


















































RARE !!


et INDISPENSABLE pour votre collection de madeleines BadAss,
"Streaking !" est un superbe album de Funk Français,
Oui ça existe, et c'est du bon en plus.

Une découverte BadAssRadio, pour vous oreilles curieuses.







Face A :

A1. Hello Streakers
A2. Special Streaking
A3. Dangerous For Your Health
A4. No Tax For Streakers
A5. Nudes And Marines
A6. To Streak With Devil

Face B :

B1. Between Two Streakers
B2. Hey Doc ! Help…
B3. Streaking Land
B4. Topless On The Trail
B5. Streak To Streak

Streaking !
(56 mégas)

jeudi 30 octobre 2008

COFFY (1973)
Roy Ayers















































ROY AYERS, Vibraphone, Vocals (1 & 3)
RICHARD DAVIS, Acoustic and Electric Bass
DENNIS DAVIS, Drums
CECIL BRIDGEWATER, Flugelhorn
BILLY NICHOLS, BOB ROSE, Guitar
HARRY WHITAKER, Electric Piano, Organ, Harpsichord, Piano
WILLIAM KING, Congas, Bongos, Percussion
EMANUEL VARDI , HAFFY LOOKOFSKY , IRVING SPICE , Strings
GARNETT BROWN , WAYNE ANDRE, Trombone
JON FADDIS, Trumpet
DEE DEE (Denise) BRIDGEWATER , Vocals (1 & 7)
WAYNE GARFIELD , Vocals (1 & 10)

Aragon (2'48)





01 Coffy Is The Color (2:58)
02 Priscilla's Theme (3:53)
03 King George (2:55)
04 Aragon (2:52)
05 Coffy Sauna (2:13)
06 King's Last Ride (1:05)
07 Coffy Baby (2:23)
08 Brawling Broads (2:40)
09 Escape (2:14)
10 Shining Symbol (3:49)
11 Exotic Dance (3:14)
12 Making Love (2:45)
13 Vittroni's Theme - King Is Dead (1:58)
14 End Of Sugarman (1:04)

Coffy side1
(44 mégas)
Coffy side2
(42 mégas)

samedi 30 août 2008

LES PIRATES DU CORTEX (1978)
Le Grand Nébuleux
et les Laveurs de Consciences






















RARE !!

THIERRY JOUBERTEX, piano, synthétiseurs
JEAN-PAI ROCHOW, guitares
ROBERT PLISSON, batterie, percussions
CHRISTIAN NYS, basse, guitare acoustique
ANTOINE DUVERNET, sax tenor et soprano flûte
PATRICE QUENTIN, sax alto
GERARD ANSALLEM, barython
PATRICE ABAOUB, percussions
ALAIN DURAND, chant
JEAN-PIERRE GORMOND, chant

Soyons précis, "Les Pirates du Cortex", c'est le titre de cet album !
" Le Grand Nébuleux et les Laveurs de Conscience ", le nom du groupe.
Voilà pour les présentations.

Laissez-vous guider par cet album d'un groupe Français de Jazz/Rock bien trop rare.

Une découverte BadAssRadio pour vous, oreilles curieuses.


Manali (2'48)






01 - Mogue
02 - Les pirates du cortex
03 - Mayday
04 - Manali
05 - Sekou Toure Blues


Enjoy
(35 mégas)

mardi 19 août 2008

ROLLERBALL (1975)
André Previn





















" Executive Party "
Morceau Funkadelic tiré du film "Rollerball".
Le son poussif très seventies de chat miaulant avec son léger portamento, provient du synthé soliste SH 2000 Roland,
(preset) " Funny Cat ". Un exemplaire de ce noble synthétiseur qui a fait la gloire des grandes heures du Funky et du Disco, trône dans mon salon. On retrouve son célèbre son (preset) "Planet" sur "Rapide Fire " et "Machine Gun" des Commodores.

Executive Party (1'48)





Enjoy
(3,7 mégas)

lundi 18 août 2008

LE PIANISTE (1981)
Patrick Dewaere




















Extrait tiré du film de Bertrand Blier, " Beau Père " 1981.

Le pianiste (3'50)





Enjoy
(5,3 mégas)

CINQ HOPS (1978)
Jacques Thollot





















ATTENTION, CHEF-D'ŒUVRE !!


ELISE ROSS, chant
FRANÇOIS JEANNEAU, saxophone soprano, flûte
MICHEL GRAILLER, clavinet, piano, percussion
FRANÇOIS COUTURIER, claviers
JEAN-PAUL CELEA, contrebasse
JACQUES THOLLOT, batterie, percussion, claviers

Les premières impressions se bousculent pour décrire cet étrange album datant de 1978, le quatrième du batteur Jacques Thollot. A ses côtés, la fine fleur du jazz hexagonal (Céléa, Couturier, Jeanneau et le regretté Michel Graillier), mais aussi la soprano américaine Elise Ross qui avec sa voix vient donner une touche classique et mystique à l’ensemble.
Disque à la musique aussi étrange que ce titre,
Cinq Hops séduit immédiatement.

Jacques Thollot est “le batteur“ qui, à l’irruption du free jazz dans les années soixante en France, fit voler en éclats la mesure et le tempo pour une exaltante démesure de liberté. Sorti en 1978, Cinq Hops, son quatrième opus, considéré par les spécialistes comme le meilleur, propose treize morceaux de musiques de chambre, entre univers jazz-rock, classique et contemporain. En intriquant les influences les plus classiques avec des compositions louchant du coté du jazz-rock et en alternant les pièces très écrites avec des miniatures audacieuses telles que « Rush », « Seven » ou « Sur neuf temps » Jacques Thollot réussit un joli un tour de passe-passe : surprendre l’auditeur sans l’égarer. Quand il n’est pas derrière sa batterie, sa musique nous transporte au début d’un vingtième siècle où les compositeurs français d’alors auraient découvert ce qu’ il faut de technologie pour faire évoluer leurs idées. L’introduction « On the Moutain (For Michèle) » avec la voix claire d’Elise Ross, mais aussi « Une certaine lumière tourangelle » en sont les plus touchants exemples. Baguettes en mains, le compositeur se fait meneur d’hommes, soutient avec brio ses troupes, les emmène sur des rythmiques plus sauvages. La soprano ne baisse pas la voix, et prend part sans complexe à ce combat plus viril : « Aprelude », pièce centrale de l’album en est l’illustration parfaite. Résumant en huit minutes la brillante alchimie de ce disque, ce morceau sur lequel les solistes semblent prendre un peu plus de libertés avec la musique très écrite du leader est un joyau. (source web)

Une de mes plus belles émotions musicales et acquisitions vinylistiques,
Un disque fascinant et prenant comme on a peu l’occasion d’en entendre.
" Cinq Hops " de Jacques Thollot, 38 minutes de bohneur pur !
Heureuses oreilles curieuses, il est ici et maintenant sur ce blog,
dans sa version CD remasterisée.

Four Four Five Eight (1'40)





01 - On the Mountain (For Michèle)
02 - Four Four Five Eight
03 - Turning on my Mind
04 - Sur 12 notes approximativement
05 - Aprelude
06 - Rush
07 - Seven
08 - Promenade Grand Siècle
09 - Sur 9 temps
10 - Gomind
11 - Cinq Hops
12 - Une certaine lumière tourangelle
13 - Trois ans devant, trois ans au-delà, ouph, un an déjà

Enjoy
(35 mégas)

samedi 16 août 2008

ISAAC HAYES en studio (1971)



Extrait tiré du Making of de " SHAFT "
avec, en fin de vidéo, le célèbre morceau joué en studio.

mardi 12 août 2008

ISAAC HAYES IS DEAD





















Ce 11 aout, la BadAssRadio est triste…
En sa mémoire voici à l'écoute, " Breakthrough "
tiré de l'album " Truck Turner " 1974 (soundtrack).




lundi 28 juillet 2008

CALMOS (1976)
Georges Delerue



























Longtemps censuré et peu aimé du réalisateur, ce film cultissime de Bertrand Blier n'est toujours pas édité.
Il a été rarement diffusé (seulement sur Canal il y a 5 ans). Les copies VHS vieillissantes, restent des trophées de cinéphiles.

Pour la musique, Delerue s'est inspiré de la symphonie pastorale de Beethoven, Blier propose pour donner une identité collectice à ses "fuyards" de fredonner une ligne mélodique à la voix. C'est Slam Stewart, une voix de basse de légende dans le jazz, qui s'y colle.
S'ajoute Vander, Humair et le guitariste José Souc pour l'orchestration.
Le résultat est jubilatoire, une belle réussite de musique de film.

Excédés par les femmes, deux compères (Rochefort et Marielle) quittent tout pour aller vivre dans un village où ils se livrent au plaisir de la bonne chair. Bientôt, des milliers d'hommes suivent leur exemple.
Mais les femmes n'ont pas dit leur dernier mot.

Retrouvez à la fin du post, en extrait, les passages dialogués où Marielle et Rochefort se font encercler par un commando de femmes en treillis, façon Bigeard époque indo dans les rizières, un must !







01 - Les joies du maquis
02 - Débandade
03 - Calmos
04 - L'attaque des femmes
05 - Départ pour le maquis
06 - Débandade (version2)
07 - Calmos tranquillos
08 - Les joies du maquis (version2)
09 - L'attaque des femmes (version 2)
10 - Calmos (version 2)

Enjoy
(28,8 mégas)

BONUS !
Six passages dialogués, tirés du film.






Enjoy
(8 mégas)

samedi 12 juillet 2008

KUNG FU ( Jim Helms )
TV theme 1973





















Caine's Theme (3'12)





Enjoy
(4,1 mégas)

vendredi 4 juillet 2008

MIXTAPE DE MES AMIS
C'est du Soldissimo !

15 titres :

- Bernard Estardy ( Cha Tatch Ka )
- Gian Piero Reverbieri ( Windy, Wendy )
- Etienne Charry ( La bonne étoile )
- Joe Bataan / mix Chris Joss ( Chick A Boom )
- Fanfare Ciocarlia ( Born To Be Wild )
- Freddie North ( Love To Hate )
- Musica Nuda Petra ( Come Together )
- George Duke ( Chariot )
- Télépopmusik ( Anyway )
- Of Montreal ( Faberge Falls For Shuggie )
- Skin Alley ( Bad Words, Evil People )
- Takehara Kunimoto ( My Shammy Six )
- Philippe Katerine ( Inutile )
- Badly Drawn Boy ( River, Sea, Ocean )
- April March ( Nothing New )

Enjoy
(49 mégas)

dimanche 8 juin 2008

Hissing Fauna, Are You the Destroyer ?
Of Montreal (2007)





















Attention ! Du baré, du gros mélange des genres,
Georges Bataille sous une boule Disco, bref, du pur BadAss !!

Ceux qui connaissent par l'intime l'horreur des crises de panique, celles qui jettent certaines de leurs victimes par la fenêtre, comprendront pourquoi ils devront avaler leur boussole, bien profond, en pénétrant Hissing Fauna : la peur en surchauffe, la raison nécrosée et les spirales paranoïaques sont tout aussi acides et psychédéliques qu'une bonne grosse poignée de champignons. Le déjà plutôt timbré Kevin Barnes, tête patraque et pensante a audiblement beaucoup souffert pendant la confection de son album.

Kevin Barnes, le leader d'Of Montreal, n'est pas un homme ordinaire. En grand habitué des peines de cœur, il a nommé son groupe en hommage à la ville natale d'une de ses ex. Il se trimballe également sur scène dans des costumes plutôt folklos, qui vont du simple slibard drapé à la panoplie de samouraï ancestral. Avec ses quatre musiciens, il s'est montré d'une prolificité rare en 10 ans de carrière, puisque Hissing Fauna,are you the destroyer ? est leur 8è album.

Alors, vous vous doutez bien que quand Kevin Barnes touche le fond, il ne le touche pas comme tout le monde. Avec pour seul compagnon au pays des fjords son ordinateur portable, l'étrange luron s'est mis en tête de bidouiller un disque musicalement sautillant et synthétique, sur lequel il chante son mal-être d'une voix gonflée à l'hélium. Puisqu'en plus en Norvège les gens parlent un gloubiboulga viking, il a affublé ses morceaux de titres abscons. Une fois la chose bizarrement composée et baptisée, il l'a empaquetée dans un joli origami, a dessiné quelques jolies rosaces bariolées dessus et a balancé son disque tel quel aux quelques farfelus assez curieux pour l'écouter. Ils ne seront pas déçus du voyage. Hissing Fauna, are you the destroyer ? évoque un patchwork sonore fait de bric et de broc, dont les textes intelligents et profonds soulignent la grande capacité d'introspection de son auteur. The Past is a grotesque animal, qui marque la frontière entre une première partie de disque pop et une seconde aux influences plus funk, incarne à la perfection ce dangereux voyage intérieur. Long de 12 minutes, ce morceau hypnotique transporte dans une conscience à la fois profondément malheureuse, idéaliste et révoltée. Moins grave, le reste du disque évoque avec un rien d'ironie la cruauté des anxiolytiques (Heimdalsgate like a promethean curse), les interminables insomnies (Gronlandic Edit) et autres joyeusetés indissociables de l'état dépressif. Car au lieu de se laisser aller sur son sort comme certains pleurnichards en ont fait leur fond de commerce, Kevin Barnes s'applique à trouver la joie là où elle n'est pas, et ce au fil de mélodies facétieuses pleines de synthés enfantins (Suffer for fashion, Bunny ain't no kind of rider).

D'une effarante complexité, Hissing Fauna est ainsi à la fois un discret petit chef-d'œuvre de pop azimutée et une incroyable expérience psychiatrique, un peu effrayante (quelle chose, quel piège, au détour d'un refrain ?) et totalement excitante (idem). Dans sa schizophrénie multiple, Hissing Fauna et son concepteur vont autant paumer leurs repères chez des Beatles étranglés (Sink the Seine) que dans un glam livide et malsain, cherchent des poux pop à Prince (Faberge Falls for Shuggie) ou font semblant d'écrire de l'electro-pop pour bambins innocents (The Bisounours Symphonic Orchestral de mon adolescence) et bâtissent, avec les douze minutes étouffantes du très kraut The Past Is a Grotesque Animal, impressionnante cathédrale stylistique.

Ces ténèbres mentales laissent pourtant filtrer, et ce en permanence, une lumière irréelle, fantasmatique... d'incroyables mélodies, incongrues comme ces rêves étranges qui hantent des journées entières, et belles comme un homme en train de guérir. (source web)

_________________________________________

1. Suffer for Fashion
2. Sink the Seine
3. Cato as a Pun
4. Heimdalsgate Like a Promethean Curse
5. Gronlandic Edit
6. A Sentence of Sorts in Kongsvinger
7. The Past is a Grotesque Animal
8. Eagle-Shaped Mirror
9. Faberge Falls for Shuggie
10. Labyrinthian Pomp
11. She’s a Rejector
12. We Were Born the Mutants Again With Leafling

Enjoy Hissing Fauna, Are You the Destroyer ? (part1) (43,4 mégas)
Enjoy Hissing Fauna, Are You the Destroyer ? (part2) (42,5 mégas)

Gronlandic Edit (2007)
Of Montreal

























Voici "Gronlandic Edit", morceau tiré de l'abum "Hissing Fauna, Are You The Destroyer" du groupe "Of Montreal".

Vous trouverez ce morceau à l'écoute sur la BadAssRadio sur le mixe "Tellement communiste" de la playlist "BadAss Surprise".

Gronlandic Edit (3'24)





Enjoy
(5,4 mégas)

samedi 7 juin 2008

SHAMPOO (1971)
Volume one





















RARE !

Voici un ovni venu de Belgique. Nous sommes en 1971.
Ce groupe aux accents d'un Zappa Belge, flirt aussi bien avec le funk,
le rock progressiste, et le jazz, bref, un joyeux bazar très moderne pour 1971.

Ce vinyl est introuvable !! Merci la Badass !

Shampouinez-vous sans tarder !!

Luc Smets : Organ
Cel De Bauer : Drums, percussion
Giorgio Chrischenko : Saxophones, flute
Yves De Vrient : Guitars
François Maes : Saxophones, trumpet
Rudy Pincee : Bass

Summer (4'20)





________________________________________

Side 1
01 - Brother (4:10)
02 - Keep the Fay Cool (6:22)
03 - Some Reason (11:00)

Side 2
04 - Summer (4:20)
05 - Hot Dog (4:07)
06 - Hurry Hup (8:56)
07 - My sweet Honeybee (4:07)


Enjoy Shampoo (side 1). (39,3 mégas)
Enjoy Shampoo (side 2). (39,2 mégas)

LITTLE MISS SUNSHINE (2006)
Michael Danna






















The winner is (3'04)





________________________________________

01 - The Winner Is
02 - Til The End Of Time
03 - You Love Me
04 - First Push
05 - No Man's Land
06 - Let's Go
07 - No One Gets Left Behind
08 - Chicago
09 - We're Gonna Make It
10 - Do You Think There's A Heaven
11 - Catwalkin'
12 - Superfreak (Rocasound Revamp)
13 - La Llorona
14 - How It Ends

Enjoy Little Miss Sunshine (part1). (33,7 mégas)
Enjoy Little Miss Sunshine (part2). (37,6 mégas)

HYPNOSE REELLE (1972)
Jean-Jacques Dexter





















VIVEZ UNE EXPERIENCE sur le blog de la BadAss.

Avez-vous assisté hier soir au numéro d'hypnose de Dominique Webb lors de l'émission de Maritie et Gilbert Carpentier? Pas banal, non? Il est vrai qu'entre le dressage de puces de Mac Ronay et l'interprétation de "Kalinka" par Yvan Rebroff et ses Bâteliers de la Volga, ce spectacle a dû impressionner bon nombre de télespectateurs.

Le blog de la BadAss vous propose maintenant de poursuivre l'expérience de l'hypnose à travers l'étude scientifique qu'a entrepris Jean-Jacques Dexter, autre orfèvre en la matière.

Hypnose réelle (4'09)





Enjoy
(5,7 mégas)

vendredi 6 juin 2008

MY SHAMMY SIX
Takeharu Kunimoto






















Takeharu Kunimoto est né en 1960 dans la ville de Chiba, située dans la baie de Tokyo. Ses parents sont des artistes de renom, du genre “roukyoku”. Cette forme artistique associe le chant et le conte, le “conteur” devant faire face au musicien dans un dialogue intense sans limite de temps. Très vite, le jeune Takeharu découvre les musiques traditionnelles américaines et révolutionne cette discipline séculaire en créant une sorte de fusion entre le rock, le bluegrass et le roukyoku. Son style unique et son jeu scénique ont conquis un grand nombre de mélomanes. Son instrument fétiche, le shamisen, est une guitare à trois cordes, typique du Japon, qu’il utilise avec la gestuelle d’une rock star. Son premier album est sorti en 1990 sous le titre Luck Help, mais c’est surtout avec son tube de seize minutes, My Shammy Six, présent sur l’album Naniwabushi Planetary qu’il a fait sensation en 1994. Particulièrement original, funky et décalé, ce titre (ici, dans sa version courte) reste une référence pour tous les fans de musique japonaise.

Merci à mon frère Michaël, pour cette découverte qui fait sa rentrée dans la BadAss !

My Shammy Six (4'05)





Enjoy
(3,7 mégas)

mardi 3 juin 2008

AKAGERA (1980)
Humair-Texier-Jeanneau






















Akagera (part 1) (2'10)





______________________________________________

01- Akagera (Part I)
02- Akagera (Part II)
03- Magrheb de canard

Enjoy
(9 mégas)

AKAGERA
Humair-Texier-Jeanneau





Daniel Humair (drum)
Henri Texier (contrebasse)
François Jeanneau (sax soprano)

Certain se rappeleront peut-être de ce morceaux…
Akagera a servi de générique pour une émission animalière qui s'appelait… "AKAGERA".

Cette vidéo provient de leur passage en 1982 dans…
Dimanche-Martin, et oui !

La pochette de l'album (réhaut d'encres sur marbre),
est de Daniel Humair.

EARTH ROT (1970)
David Axelrod






















Magnifique album d'Axelrod sur l'écologie. Un must !

Une info en passant… David Axelrod n'est pas l'homme qui se charge de la campagne présidentielle de Barack Obama.
je l'avais écrit sur ce blog, c'est une erreur de ma part. Merci au chaleureux post anonyme pour avoir rectifié le tir.

The Warning Talk (Part I) (2'52)





01- The Warning Talk (Part I)
02- The Warning Talk (Part II)
03- The Warning Talk (Part III)
04- The Warning Talk (Part IV)
05- The Sign (Part I)
06- The Sign (Part II)
07- The Sign (Part III)
08- The Sign (Part IV)

Enjoy
(51,9 mégas)

SONGS OF EXPERIENCE (1969)
David Axelrod





















C'est au début des années 70 que David Axelrod réalise un diptyque en hommage au poète William Blake dont Songs Of Experience constitue le second volet. Brassant avec un rare bonheur des influences fort diverses qui vont du jazz au rock en passant par le funk, la soul music, le rock psychédélique et la musique classique, ce visionnaire orchestrateur annonce avec quelques décennies d'avance les passerelles entre les genres qu'installeront les musiques de la fin du XXe siècle.Tout à la fois complexes et fluides, ses arrangements sollicitent toutes les possibilités qu'offrent les guitares fuzz, les nappes de cordes et les sections de cuivres qui claquent. Garantie sans aucune matière grasse, cette musique le dispute en élégance au meilleur de Phil Spector, John Barry, Lalo Schifrin, Alain Goraguer et Jean-Claude Vannier ! Si l'on ajoute un goût si sûr qu'il fait avouer à son auteur un net penchant pour Ornette Coleman, Stravinsky et Duke Ellington, Songs Of Experience ne pouvait être qu'un authentique chef-d'œuvre.

"The Human Abstract", affublé d'une basse d'une élasticité impressionante, de cordes pointues et de guitares acides, le tout porté par une rythmique tout en souplesse, sans oublier, bien sur, un thème récurent au piano accompagné de vibes récurantes et réverbérées... Ce morceau a fortement affluencé Jean Claude Vannier 1 ans plus tard pour les arrangements de… Melody Nelson de Gainsbourg. Bref, ça s'écoute quasiment comme une bande originale de film. Un album d'ambiance, fait de grooves souples et de moments tendus propre au monde des films. Le fruit d'une production excellente et sans failles de David Axelrod lui même accompagné par Don Randi et basée sur des poêmes de William Blake ... Album court mais essentiel...Un must... (source web)

The human abstract (5'35)






01. The Poison Tree
02. A Little Girl Lost
03. London
04. The Sick Rose
05. The School Boy
06. The Human Abstract
07. The Fly
08. The Divine Image

Enjoy
(43,1 mégas)

GET CARTER (1971)
Roy Budd





















Get Carter (theme) (3'00)





Enjoy
(4,2 mégas)

lundi 2 juin 2008

NOUS IRONS TOUS AU PARADIS (1977)
Yves Robert






















On se retrouve en 1977, les éléphants ont mûris d'un an…
La composition de Vladimir Cosma prend les couleurs d'un Jazz Band,
une façon de nous dire par la musique dès le générique du film, que notre quatuor d'éléphants est encore plus soudés que dans le premier épisode. Quand Etienne le personnage de Rochefort, surveille en filature sa femme, il prend des faux airs de l'inspecteur Clouzot. Belle oportunité pour Cosma de marcher sur les pas de Mancini avec un clin d'œil à sa panthère rose.

Etienne, Simon, Daniel et Bouly ont 40 ans et sont inséparables pour le meilleur et pour le pire. Le pire, ce sont les femmes : la leur, et celles des autres, et d'autres encore qui passent qui s'installent, qui restent ou qui les quittent et dont ils parlent en pleurant et en riant.

Tony Coe : Sax ténor
Pepper Adams au sax Baryton
Maurice Vander : Piano acoustique et électrique
Sam woodyard : drums

Parker par cœur (2'13)





_______________________________________________

01- Les Saxs Brothers
02- Jalousie - blues
03- Nous irons tous au paradis
04- Les souvenirs de l'éléphant
05- Parker par cœur
06- Jalousie - blues (2ème Version)

Enjoy ( Pardon Yves, pardon Vladimir…).
(20,7 mégas)

dimanche 1 juin 2008

UN ELEPHANT ÇA TROMPE ENORMEMENT
Yves Robert (1976)






















Hommage à Yves Robert,
personnage haut placé dans mon Panthéon des grands hommes.
Voici pour ouvrir le feu, "Un éléphant ça trompe énormément".
Magnifique composition de Vladimir Cosma qui magnifie encore une fois, l'œuvre d'Yves Robert.


Étienne, haut fonctionnaire d'un ministère, se trouve en robe de chambre, coincé sur la corniche extérieure du dernier étage d'un immeuble parisien où il n'habite pas. Comment est-il arrivé là ? Nous allons l’apprendre au cours de cette "histoire très agitée des démêlés de certains hommes avec certaines femmes qui ne sont pas nécessairement les leurs".

Ces quatre hommes ont quarante ans, sont copains comme on l’est à douze, et nous suivrons leurs aventures respectives où l’amitié vient au secours des amours des autres, à moins qu’elle ne les complique...

Étienne a une femme sensible, Marthe, qui devine que son mari est troublé par le démon de midi. Il va en effet découvrir une très belle créature, Charlotte, qu'il essaiera de séduire au prix de quiproquos nombreux. Il y parviendra malgré tout, quitte à vivre ensuite ce moment, si drôle au théâtre mais si ridicule dans la vie, où le mari survient et contraint l'amant à se réfugier où il peut, dans l'état où il se trouve, fût-ce en robe de chambre sur une corniche d’immeuble...

Bouly, dragueur infatigable s'aperçoit avec stupeur qu'une femme peut le quitter : la sienne.

La femme qui occupe la vie de Simon, médecin célibataire, c'est sa mère et il supporte mal les amours tumultueuses de celle-ci.

Le quatrième c'est Daniel, le "marrant" qui cache bien son jeu. Ses amis vont découvrir qu’il préfère la compagnie des hommes à celles des femmes.

Tous les quatre, d'ailleurs, cachent quelque chose et mentent à tout le monde. À eux-mêmes d'abord et à toutes "leurs" femmes, ce qui entraîne ces grands enfants dans une série d'aventures cocasses et cruelles dont l'amitié, seule, sortira victorieuse.

Hello Marylin ! (3'47)





________________________________________________

01- Hello Marylin !
02- Ballade de l'éléphant
03- Étienne et Charlotte
04- Paris - London
05- Airport drinks
06- Les bouleversants malentendus
07- Bérénice blues
08- Un éléphant ça trompe énormément

Enjoy ( Pardon Yves, pardon Vladimir…).
(16,5 mégas)

MOI Y EN A VOULOIR DES SOUS (1973)
Michel Magne / Jean Yanne





















Bande Originale de Michel Magne pour ce Jean Yanne jamais distribué.

Licencié à la suite d'une initiative malheureuse, le conseiller financier Benoît Lepape (Jean Yanne) décide de travailler chez son oncle (Michel Serrault), un militant syndicaliste.
Ses méthodes capitalistes vont surprendre dans un premier temps, mais rapportent bien vite beaucoup d'argent.

Pour l'amour des sous (3'00)






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01- Choral en ut dièse mineur pour curés et sportifs
02- Pour l'amour des sous
03- Moi y'en a vouloir des sous
04- Liberté, Égalité, Sexualité
05- Parle au patron ma tête est malade
06- Pétrole Pop
07- Marche des syndicats
08- Luttons pour le marché commun
09- Les ouvriers
10- Marches des C.R.S.
11- Superchic génial (Hommage À James Brown)
12- Inter Alléluia

Enjoy
(30,8 mégas)

MOI Y EN A VOULOIR DES SOUS
Jean Yanne (1973)

CULTE !!


Une première vidéo sur le blog Badass.
Un extrait du film de Yanne, "Moi y'en à vouloir des sous"
(Toujours introuvable en vidéo…)

Le passage où le Groupe MAGMA joue dans la cathédrale futuriste.
Magma dans sa plus belle période !
(Faton Cahen au Fender Rhodes,Yochk'o Seffer sax alto,Teddy Lasry Sax tenor
et Klaus Blaquiz au chant )


Enjoy à tous les fans de Kobaïa !

13 CHANSONS DECADENTES ET FANTASMAGORIQUES
Brigitte Fontaine





















Collector, premier album de Brigitte Fontaine en 1966.

La vache enragée(1'50)





01- Je suis décadente
02- C'est pas ma faute
03- Hallucinante aventure
04- Le mauvais coton
05- Les dieux sont dingues
06- Dévaste-moi (L'éternel feminin)
07- La côtelette (Je suis la femme)
08- Quand tu n'es pas là
09- On n'est pas des chiens
10- le train
11- La vie sur les bras
12- La vache enragée
13- Le sac

Enjoy
(22 mégas)

LES NUITS D'UNE DEMOISELLE
Colette Renard





















Censuré longtemps des ondes pendant toute une génération,
ce petit bijou ressort à la lumière aujourd'hui.

Pour la petite histoire, RadioNova a été rendue célèbre par la diffusion des "Nuits d’une demoiselle" de Colette Renard en 1963, alors que toutes les autres radios, dont celles de l’ORTF, la censuraient, Nova est menacée d’interdiction. Et se trouve donc à l’origine des événements de Mai 63, pendant lesquels la foule descend dans la rue pour demander des médias libres.

Habituée de l’Olympia, ou de Bobino où elle partage la scène avec Georges Brassens en 1976, Colette Renard enregistra plusieurs albums de chansons grivoises. La plus célèbre d’entre elles est sans doute Les nuits d’une demoiselle. Depuis août 2004, elle incarne Rachel, la doyenne des personnages du feuilleton télévisé quotidien Plus belle la vie sur France 3. Comme quoi…

LES NUITS D'UNE DEMOISELLE de Colette Renard

Que c'est bon d'être demoiselle
Car le soir dans mon petit lit
Quand l'étoile Vénus étincelle
Quand doucement tombe la nuit

Je me fais sucer la friandise
Je me fais caresser le gardon
Je me fais empeser la chemise
Je me fais picorer le bonbon

Je me fais frotter la péninsule
Je me fais béliner le joyau
Je me fais remplir le vestibule
Je me fais ramoner l'abricot

Je me fais farcir la mottelette
Je me fais couvrir le rigondonne
Je me fais gonfler la mouflette
Je me fais donner le picotin

Je me fais laminer l'écrevisse
Je me fais foyer le cœur fendu
Je me fais tailler la pelisse
Je me fais planter le mont velu

Je me fais briquer le casse-noisettes
Je me fais mamourer le bibelot
Je me fais sabrer la sucette
Je me fais reluire le berlingot

Je me fais gauler la mignardise
Je me fais rafraîchir le tison
Je me fais grossir la cerise
Je me fais nourrir le hérisson

Je me fais chevaucher la chosette
je me fais chatouiller le bijou
Je me fais bricoler la cliquette
Je me fais gâter le matou

Et vous me demanderez peut-être
Ce que je fais le jour durant
Oh! cela tient en peu de lettres
Le jour , je baise, tout simplement


Les nuits d'une demoiselle (1'58)





Enjoy
(1,7 méga)

samedi 31 mai 2008

SPINAL TAP (1982)





















Attention, CULTE , This is Spinal Tap !
Après l'album blanc des Beatles, voici " Smell The Glove " !

Un réalisateur de publicité (Marty DiBergi) tourne un documentaire sur un groupe de hard rock britannique qui n'a plus joué aux Etats Unis depuis six ans. Alors qu'ils décident de changer d'orientation musicale et de saborder une nouvelle fois leur formation, ils apprennent qu'un de leurs titres marche au Japon. Le groupe se reforme pour une tournée triomphale.


David " Qu'est-ce que c'est que ce truc… C'est le test pressing ? "

Ian " Non, c'est le vrai ! "

David " Ça c'est "Smell the glove " par Spinal Tap ?? "

Ian " C'est bien " Smell the glove ", voici la pochette du disque qui va sortir dans tous les magasins "

David " … Ah c'est ça ton fameux compromis… "

Derek " Attends, ils vont peut-être écrire un truc sur la tranche ? "

Nigel " Tu veux dire que ça va rester tout noir, comme ça ? "

Ian " Non, rien, simple, beau… Classique ! "

David " On dirait un miroir en cuir noir…"

Derek " On se voit des deux côtés ! "

David " Moi je dis que ça pu la mort ce truc là, on est en deuil ou quoi ?"

Ian " David, mais tous les films parlent de la mort, la mort fait vendre ! "

Nigel " J'crois qu'il a raison, y'a quelque chose dans ce machin tout noir, est-ce qu'on peut faire plus noir que ça… Et la réponse est non ! Plus noir, tu meurs ! "

David " j'crois que t'es pas rationnel dans cette histoire, j'ai l'impression maintenant qu'on se retrouve coincé avec un album qui a une pochette vraiment tarte, c'est carrément dépriment…"

Ian " J'crois que maintenant ça y'es, c'est le grand virage, on va décoller maintenant !! "







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01- Gimme Some Money
02- Cups And Cakes
03- (Listen To The) Flower People
04- Heavy Duty
05- Rock And Roll Creation
06- Big Bottom
07- America
08- Sex Farm
09- Stonehenge
10- Hell Hole
11- Tonight I'm Gonna Rock You Tonight

Enjoy
(32 mégas)

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CADEAU !! 15 dialogues de Spinal Tap.
( Retrouvez-les sur la BadAssRadio / Playlist / BadAssRadio On Air ).







Enjoy
(31,5 mégas)

vendredi 30 mai 2008

L'AVENIR DU FUTUR

















Retour vers le " Plus que parfait "
avec ce générique sorti du grenier télévisuel de la BadAss.

TF1, début des années 80… Le mercredi soir,
Un film traitrant d'un sujet de société était suivi d'un débat
mené par le journaliste scientifique Robert Clarke

Ce générique est un extrait de l'abum "Rubycon" (1975)
du groupe Tangerine Dream.

Véritable Madeleine de Proust dès les premières notes du générique,
on se replonge il y a 25 ans, un mercredi soir devant son petit écran
à se poser ces terribles questions :
- Les extra-terrestres existent-ils ?
- Les robots domineront-ils le monde ?
- Que mangerons-nous dans le futur ?…


Bonne Madeleine !

L'avenir du futur générique





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(3 mégas)

LA TERRE
Robert Viger





















Voyage au tréfonds des entrailles de la petite lucarne.
Rappellez-vous de cette série en 7 épisodes de 1984,
" Haroun Tazieff raconte sa Terre ".
La BadAssRadio ressort de son grenier télévisuel
cette madeleine magmatesque.
Au programme, Voyage, Aventure, Géologie et Vulcanologie.

“Donnez-moi un levier et je soulèverai la Terre...”
“Donnez-moi 60 000 mètres de pellicule et je vous raconterai le monde”
(Haroun TAZIEFF)

Musique de Robert VIGER,
avec les Choeurs de la Maîtrise de la Cathédrale de Chartres

Episode 1 : “La terre - son visage"
Episode 2 : “La mécanique de la terre”
Episode 3 : “Les colères de la terre”
Episode 4 : “Déserts arides et déserts de glace”
Episode 5 : “Les éléments naturels qui façonnent le paysage de la terre”
Episodes 6 et 7 : “Haroun Tazieff et les volcans”

(à l'écoute aussi sur la BadAssRadio / Playlist / Le grenier télévisuel).







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01 - La terre (générique)
02 - Jeux d'eau

Enjoy
(5 mégas)

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Vinyle original :

A-1 The Seventh Day 2:43
A-2 Migration 2:23
A-3 Threatening Sky 3:05
A-4 Transparency 2:29
A-5 Vulcano 3:57
A-6 Rippling 2:05
A-7 Burning Streams 2:06

B-1 The Earth 1:52
B-2 Water Games 2:43
B-3 Earthquake 3:28
B-4 Amazonie 2:10
B-5 Glacier 2:31
B-6 Exploration 3:21
B-7 Twilight 3:04

Enjoy
(52 mégas)

THE ELEPHANT MAN (1980)
John Morris





















Splendide composition pour ce Lynch magnifique.

Pour la petite histoire : Mel Brooks (eh oui !), passionné par l'histoire de John Merricks (l'homme éléphant), achète les droits pour son adaptation au cinéma. Ne cherchant pas à réaliser le film (sujet bien différent du style burlesque de Brooks), il cherche le réalisateur capable d'adapter cette incroyable histoire. Quelqu'un capable de restituer l'ambiance de l'Angleterre Elisabethaine, de plonger au début de l'ère industrielle et dans l'univers des Freaks à la Tod Browning. A la vue du premier film de David Lynch "Eraserhead" Brooks est persuadé d'avoir trouvé son réalisateur. Il avait raison !

C'est John Morris justement, le talentueux compositeur des musiques des films de Mel Brooks qui s'attèle à la tache en 1980.
Entrez dans cette B.O. Magnifique, entrez Mesdames et Messieurs, voici l'homme Elephant.







01-Main theme
02-Dr. Treves visits the freak show and Elephant Man
03-John Merrick and Psalm
04-John Merrick and Mrs. Kendal
05-The Nightmare
06-Mrs. Kendal's theater and poetry reading
07-The Belgian circus episode
08-Train Station
09-Pantomime
10-Adagio for strings
11-Recapitulation

Enjoy
(37 mégas)

LA PLANETE SAUVAGE (1973)
Alain Goraguer






















Sorti fin 1973, "La Planète Sauvage" film d'animation de René Laloux est prix spécial du jury à Cannes en 1973. Magnifiquement servi par la musique d'Alain Goraguer et les dessins de Roland Topor le film est d'ors et déjà Culte: Les nappes syché-électroniques de flutes et violons supportant le wah-wah discret d'une guitare hypothétique font de cette BO l'élément indispensable de toute discothèque sérieusement agrémentée. Chaque morceau est la déclinaison de 3 thèmes principaux sur plusieurs modes (avis aux musiciens...). Le fait que les morceaux soient souvent enchainés permet à la musique de dégager une atmosphère vraiment envoûtante. Alain Goraguer (qui a été aussi l'arrangeur de Gainsbourg ) nous accompagne donc au cours d'un voyage pas tout à fait dansant mais vraiment planant sur la planète Ygam entre Draags et Oms, à la découverte du secret des géants bleus.....(suspense....)

Le bracelet (1'28)






01- Deshominisation (II)
02- Deshominisation (I)
03- Generique
04- Le bracelet
05- Ten et Tiwa
06- Maquillage de Tiwa
07- Course de Ten
08- Ten et Medor
09- Ten et Tiwa dorment
10- Ten est Assome
11- Abite
12- Conseil des Draags
13- Les hommes - La grande coexistence
14- La femme
15- Mira et Ten
16- Mort de Draag
17- L'oiseau
18- La Cite des hommes libres
19- Attaque des robots
20- La longue marche - Valse des statues
21- Les fusees
22- Generique 2
23- Strip Tease
24- Meditation des enfants
25- La vieille meurt

Enjoy
(35 mégas)

COLUMBO
Prescription: Murder
Dave Grusin

"Prescription: Murder" est le tout premier épisode de la série Columbo.

Le docteur Fleming (Gene Barry), un psychiatre réputé, souhaite se débarrasser de sa riche épouse avant qu'elle ne demande le divorce pour faute. Fleming entretient, en effet, une liaison extra-conjugale avec Joan Hudson (Katherine Justice), une jeune actrice qui est aussi une de ses patientes. Juste avant de partir pour Acapulco où le couple officiel est sensé prendre quelques jours de vacances à l'occasion de leur dixième anniversaire de mariage, Fleming étrangle sa femme et maquille son crime en cambriolage. C'est Joan qui va se faire passer pour madame Fleming à l'aéroport de Los Angeles.

Dave Grusin signe la musique et imprime dès le départ cette inimitable ambiance musicale propre à la série.
Un vrai bijou de composition pour la télévision. (1971)

Retrouvez dans ce mixe de 17 min, l'odeur du crime.





















Prescription: Murder (extrait)





Prescription: Murder / Inculpé de meurtre : (17'20)
Saison 1 épisode 1
Enjoy
(23 mégas)

COOL HAND LUKE (1966)
Lalo Schifrin

Du bon Lalo Schifrin avec "The Chase",
morceau tiré de la bande originale de "Cool Hand Luke" 1967.





















The chase (3'18)





Enjoy
(5 mégas)

jeudi 29 mai 2008

PULSION
Jacques Loussier





















Moins de 25 ans, passez votre chemin…
Voici un vieux souvenir sortie du grenier télévisuel de la BadAss.
La musique de la campagne publicitaire d'EDF en 1981.

C'était un technicien EDF qui amenait la lumière dans toutes les maisons
en passant avec une ampoule allumée à la main. En fait, c'était un
message subtil à l'adresse de nos populations afin de les éclairer sur un
débat national : "toi y'en a aimer le nucléaire ? toi rétrograde si toi pas
aimer, car nous faire lumière grâce à nucléaire."
bon évidemment j'enjolive un peu le message,
mais l'intention à l'époque y était.

C'est le morceau "Pulsion" de Jacques Loussier qui a été choisi pour la publicité EDF et adapté pour ce spot dans un tempo plus lent avec des arrangements ( choeurs, mélotron et des cuivres ) pour donner une couleur plus solennelle à cette campagne d'information, " des hommes aux services des hommes ".

Le morceau original se trouve sur l'album "Pulsion" de Jacques Loussier.
Cet album est le premier disque PIANO/BATTERIE,
une vraie merveille musicale. Il est aujourd'hui introuvable.

Ne pleurez plus !
Sur ce Blog, voici les deux versions de 'Pulsion".

(Bientôt sur la BadAss, une playlist "Grenier télévisuel").

À noter que le thème de " Pulsion " a été samplé par le rappeur Eminem pour son titre " Kill you " sans demander au préalable l'autorisation à son créateur. Aux dernières nouvelles l'affaire a été portée devant la justice américaine.

Bonne madeleine télévisuelle.

Pulsion version spot TV (1'58)






Enjoy
(1,7 méga)




















Pulsion version album original (4'10)






Enjoy
(9 mégas)

TROUBLE MAN (1972)
Marvin Gaye

Unique composition de Marvin Gaye pour le cinéma.
C'est un chef d'œuvre !

Entre l'album " What's going on" 1971 et "Let's get it on" en 1973
il signe en 1972, une des meilleures bande originale de la Blaxploitation.

























01- Main theme from Trouble Man (2)
02- "T" Plays it cool
03- Poor Abbey Walsh
04- The break in (Police shoot big)
05- Cleo's appartment
06- Trouble Man
07- Theme from Trouble Man
08- "T" Stands for trouble
09- Main theme from Trouble Man
10- Life is a Gamble
11- Deep-in-it
12- Don't mess with mister "T"
13- There goes mister "T"

Enjoy
(53,5 mégas)

mercredi 28 mai 2008

T'ES PAS POLI
Patrick Dewaere / Françoise Hardy

Première excursion de Patrick Dewaere pour la musique.
Il interprète en 1971, " T'es pas poli " avec Françoise Hardy.

Document rare.





















T'es pas poli (1'58)





Enjoy
(2,7 mégas)

LA SCOUMOUNE
François De Roubaix





















Le film « La Scoumoune » n’est pas à proprement parler un chef d’œuvre. Mais il est réellement mis en valeur par la fresque musicale de François de Roubaix.

Le thème principal éponyme du film vous prend aux tripes et ne vous lâche plus. François, en multi-instrumentiste qu’il était, avait su aussi innover avec audace, au niveau du mélange des sonorités, et se servait tour à tour de limes, de crécelles, de ressorts, de tubas de plongée, et intégrait tout cela, à son univers. Le son de l’orgue « FARFISA Professional » de 1969, reconnaissable entre mille, ainsi que l’orgue de barbarie revient assez souvent dans le thème, car le réalisateur lui avait demandé de travailler autour de ses sonorités de barbarie. La guitare étincelante de François souligne avec bonheur et clairvoyance, les accents principaux de ce morceau.

Les années d’après-guerre sont marquées avec le second titre « Pigalle 44 » où le jazz est omniprésent, que ce soit dans le rythme, ou dans l’instrumentation. Un quintette de trompettes et de tubas donnent le ton de ce morceau, ou l’ambiance « charleston » règne, avec son piano bastringue et sa guitare jazzy.

Le 3ème titre met en scène une boîte à musique que répare Roberto Borgo (Jean-Paul Belmondo) dans la chambre de Georgia (Claudia Cardinale), et c’est cette boîte à musique que l’on entend dans ce morceau. Un titre enfantin et tendre.

« Avant-guerre » est le 4ème titre, et donne vraiment l’impression d’être une improvisation jazz avec un piano désaccordé, comme on les entendait beaucoup dans les temps anciens. François de Roubaix se servira également d’un de ces pianos bastringue pour composer un de ses thèmes musicaux, qui aura marqué toute une génération : Le dessin animé « Chapi-Chapo ».

Le thème principal est repris dans le 5ème titre et complète à merveille l’introduction, avec toutefois, quelques variantes différentes dans l’instrumentation.

« L’intrusion des racketteurs noirs dans les maisons closes» est un medley qui démarre sur un piano bastringue, puis on enchaîne avec un rythme afro-cubain où la basse est très présente, ainsi que la guitare acoustique. Tout cet enchevêtrement montre une pièce d’une modernité étonnante. Il y a également, à 1 min 39, le fameux passage du film où Roberto Borgo (Jean-Paul Belmondo) au moment de riposter face à son agresseur, s’assoit sur une chaise et attends… En même temps, démarre une sorte de riff musical joué au « Farfisa » et passé dans une chambre d’écho. Ce passage monte crescendo, jusqu’au moment où Borgo abat son ennemi. Et le passage afro-cubain reprend du service jusqu'à la fin du titre, entrecoupé par deux bossa-novas rythmées par « l’EMS VSC3 », (synthétiseur utilisé, en autres, par Jean-Michel Jarre pour la musique du film « Les Granges Brûlées", ainsi que pour d'autres de ses albums : Oxygène, Equinoxe...)

La 7ème composition uniquement interprétée à l’orgue de barbarie est empreinte d’une grande émotion, et reprend le thème principal du film. On retrouve ce titre en début de film, et à la fin.
Le dernier titre est interprété par Lucie Arnold au chant et François de Roubaix au piano dans un titre minimaliste et nostalgisque à souhait.

Une bande originale de film ou tout le talent de cet homme orchestre éclatera, et la musique de « La Scoumoune » est aujourd’hui encore considérée comme une pièce maîtresse de la carrière artistique de François de Roubaix. (source web)

Xavier à la maison d'arrêt (Theme)







01- La Scoumoune (Main Theme)
02- Pigalle 1944
03- Georgia et Roberto
04- Avant guerre
05- Xavier à la maison d'arrêt (Theme)
06- Intrusion des racketteurs noirs dans les maisons closes
de la Ficelle et de l'élégant
07- L'orgue de Migli
08- Quand les amours se meurent

Enjoy
(27 mégas)

L'ENFANT ASSASSIN DES MOUCHES
Jean Claude Vannier

ATTENTION COLLECTOR !





















Oeuvre à la fois ambitieuse et kaléidoscopique, L'enfant assassin des mouches du compositeur français Jean-Claude Vannier est un joyau oublié de la «pop» psychédélique du début des années 70 sur laquelle l'homme derrière les arrangements du mythique Histoire de Melody Nelson, de Serge Gainsbourg, s'amuse à superposer les genres dans une optique symphonique et post-moderne parfaitement maîtrisée. Habitant l'étrange jonction entre académisme déluré, jazz déphasé et pop hallucinée, L'enfant assassin des mouches proposait dans un contexte où le métissage était une constante une définition nouvelle du terme «fusion» qui implique iconoclasme et éclectisme. Brouillant la frontière entre bouillabaisse populaire et composition de haut niveau, cet essai unique tend à rendre caduque la distinction entre culture de masse et culture savante. Son inventivité s'exprime dans les deux vocabulaires à la fois, Vannier maximisant l'impact de ses compositions en faisant appelle à deux intelligences qui ont tendance à s'affronter.

Dans cette optique, le fait que L'enfant, la mouche et les allumettes débute sous forme de pièce concrète très moderne pour ensuite dresser en contrepoints jouissifs un funk-rock de blaxploitation bien suintant et une section de cuivre dissonante appuyée par des percussions rappelant vaguement Ionisation d'Edgar Varèse. La tête propulsée sur Mars en moins de cinq minutes, l'auditeur est par la suite capable de suivre L'enfant au royaume des mouches. Ici, un rock psychédélique d'inspiration progressive s'élève, épique et menaçant, pour évoquer l'émerveillement et l'inquiétude face à un paysage étranger où les proportions conventionnelles n'ont plus droit de citer. Face à l'immensité de ces univers où la rationalité s'est éclipsée, le voyageur se sent tour à tour ébloui et écrasé; L'enfant assassin des mouches est un infini où l'absurde et la folie ne font plus qu'un.

Bien entendu, l'origine de cet album est autrement plus modeste que les métaphores ahuries que l'on est en mesure de pondre dans l'espoir de le décrire adéquatement. Le compositeur autodidacte aura tout de même fondé un orchestre de plus d'une vingtaine de musiciens, Insolitudes, afin d'enregistrer les onze pièces qui constituent L'enfant assassin des mouches; la légende veut que Vannier ait par la suite présenté l'album à son ami Gainsbourg qui, en l'espace d'une soirée, se serait pour sa part chargé de pondre l'histoire surréaliste l'accompagnant. L'univers naïf et sous-terrain qu'évoque son texte est à l'image de la musique, à la fois drôle et sinistre.

À la fois avant-gardiste et vétuste, L'enfant assassin des mouches anticipe par le vibrant collage stylistique qu'il propose certaines des expériences de John Zorn tout en demeurant immanquablement ancré aux repères sonores propres à son époque. Cette opposition entre charme rétro et démarche contemporaine fait de l'oeuvre de Jean-Claude Vannier une fascinante dichotomie; les uns l'écouteront pour sa démesure kitsch tout à fait assumée tandis que les autres y reviendront pour son approche visionnaire à la composition et son incroyable impact évocateur. Quoiqu'il en soit, on bénira l'étiquette Finders Keepers qui a cru bon de dépoussiérer ce petit trésor aussi bizarre qu'il est enrichissant.
Les instrumentaux de L’enfant assassin des mouches ont été composés dans la foulée de Melody Nelson et cela s’entend souvent. L’enlevé et symphonique Danse des mouches noires gardes du roi en rappelle les climats amples et puissants. L’enfant au royaume des mouches et ses chœurs immenses sur grooves monstres en prolonge le souffle (au passage on comprend où Burgalat a pu parfois puiser son inspiration). La plupart des morceaux sont éblouissants, inventifs et si La mort du roi des mouches et son climat oppressant justifie a lui seul la référence récurrente à David Axelrod, Jean-Claude Vannier va plus loin, est flamboyant. L’excès est la règle.

L’enfant assassin des mouches n’a cependant rien à voir avec un concept album. Quand Jean Claude Vannier passe chez Gainsbourg, un après-midi d’avril 72, pour lui faire écouter les instrumentaux qu’il a enregistrés au Studio des Dames, le mot mouche n’apparaît sur aucune des bandes. C’est un ensemble hétérogène d’instrumentaux, avec des saynètes bruitistes, des ruptures de ton, comme cette incursion dans le burlesque de la Danse de l’enfant et du roi des mouches, qui m’évoque certains thèmes de François de Roubaix.

C’est Gainsbourg, impressionné par ce qu’il entend, qui lui dit : « laisse moi passer la nuit dessus ». C’est ainsi que de la musique de Jean-Claude Vannier naît ce petit conte cruel et tordu d’un enfant assassin des mouches qui finit collé sur un papier tue-enfant (quelle horreur). La contribution de Gainsbourg peut paraître minime ; elle donne à cette suite d’instrumentaux brillants une cohérence qui la transforme en un projet fou à la liberté totale. Un disque où Marcel Azzola peut faire entendre un accordéon aussi inquiétant que sur Le papier tue-l’enfant est un disque rare. Et ça, il n’y a pas que les anglo-saxons qui l’ont compris.

Avec la Danse de l'enfant et du roi des mouches, le taux d'oxygène grimpe bien au-delà des pourcentages normaux: nous voici soudainement les prisonniers euphoriques d'un supermarché démesuré où tout n'est que chrome lustré et rétro-futurisme exubérant. Les Peaches en Regalia de Frank Zappa copulent sur la place publique avec une débile caricature de Muzak gonflée à l'hélium. Quelques minutes plus tard, Le roi des mouches et la confiture de rose combine des envolées orchestrales parfaitement lyriques à des effluves orientales d'un exotisme consommé. Le tout n'est pas sans rappeler les arrangements luxuriants de l'ambitieux Sea Change de Beck, paru en 2002, du moins jusqu'à ce qu'une symphonie de réveils-matin et de scies ne nous arrache à nos rêveries pittoresques pour nous placer sans crier gare dans un cauchemar de musique concrète où s'unissent les textures métalliques de toutes sortes.

Lorsque finalement Les gardes volent au secours du roi sur la septième pièce de son opus, Jean-Claude Vannier semble avoir trouvé le point de rencontre idéal entre les musiques d'Ennio Morriconne pour le royaume du western spaghetti et le cosmos psychédélique qu'explorait les yeux ébahis la trame sonore de La planète sauvage de René Laloux, composée par Alain Goraguer et par la suite échantillonnée par l'éminent Madlib sur son classique The Unseen. «La lune est mauve», affirme la voix désincarnée et autoritaire d'un enfant s'apprêtant à mettre à mort le roi des mouches; ses fidèles serviteurs emploieront Le papier tue-enfant pour venger la mort de leur maître, alors qu'une sinistre musique de carnaval juxtapose les plus chatoyantes couleurs à une morbide spirale mélodique. (source web)


01- L'enfant la mouche et les allumettes
02- L'enfant au royaume des mouches
03- Danse des mouches noires gardes du roi
04- Danse de l'enfant et du roi des mouches
05- Le roi des mouches et la confiture de rose
06- L'enfant assassin des mouches
07- Les gardes volent au secours du roi
08- Mort du roi des mouches
09- Pattes de mouches
10- Le papier tue-enfant
11- Petite agonie de l'enfant assassin

( Bonus : Le point d'interrogation )

12- Je m'appelle Geraldine [Mid-Tempo Version]
13- Je m'appelle Geraldine [Up-Tempo Version]

Enjoy
(36 mégas)

MESSE POUR LE TEMPS PRESENT
Michel Colombier / Pierre Henry

Attention, CULTISSIME !!
Michel Colombier avec des Cornofulgures de Pierre Henry.
(1967)


























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01 - Prologue
02 - Psyche Rock
03 - Jericho Jerk
04 - Teen Tonic
05 - Too Fortiche

(17 mégas)
Enjoy


mardi 27 mai 2008

L'HERITIER (1973)
Michel Colombier






















Bande originale du film de Philippe Labro (1973)
Un des chefs-d'œuvre de Michel Colombier
Rythmique puissante, guitare électrique, Clavinet, Fender Rhodes
et surtout ces magnifiques riffs de cuivres.
Belle façon pour illustrer le rapport de Cordell au pouvoir.

Michel Colombier : Keyboards
Claude Engel : Guitars
Jannick Top : Bass
Jean Schulteiss : Percussion

Vous trouverez ce disque à l'écoute sur la BadAssRadio
dans la playlist " Film de janvier"







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01 L'héritier
02 Rêve
03 L'usine
04 Hotêl Lutécia / Kidnapping
05 L'héritier (partie 2)

Enjoy
(10 mégas)



Opening Night

Bonjour à toutes les oreilles curieuses de la BadAssRadio.
Ouverture ce soir du blog de la BadAss !

Vous y trouverez au fil des semaines
de nombreuses références entendues sur la BadAss
mais aussi de belles surprises uniquement en exclu sur ce blog.

Véritable complément alimentaire de la BadAssRadio
ce blog vous permettera d'engranger infos et nourritures audio.

N'hésitez pas à déposer questions et commentaires !

Bien à vous.

Sébastien.